Le doliprane fut le bienvenu : mon mal de crâne était épouvantable. Je n’avais pourtant pas tant bu que ça : juste trois ou quatre verres. Peut-être cinq. Je me prélassai dans un bon bain chaud puis me postai dans la cuisine pour préparer à manger. Je fus très efficace : je préparai une sauce bolognaise maison, un hachis parmentier, une soupe et un gâteau au chocolat. Je suis toujours très productive en cuisine lorsque je suis stressée : et je l’étais, bien évidemment. Mon mari m’avait promis la fessée de ma vie, et il allait rentrer d’un instant à l’autre pour me la donner. C’était ma faute après tout. J’avais déconné, il fallait que j’assume, maintenant. J’ai privilégié ma vie de femme à ma vie de mère. J’ai mis en danger mon bébé. Même si je sais que j’ai tout de même droit à un verre de vin par jour pendant une grossesse, j’avais explosé le compteur hier soir. Mon médecin d’époux m’en tiendrait sévèrement rigueur. Lor
Ceci est un blog pour tous les passionnés d'histoires autour du monde de la fessée. C'est un lieu où règnent bienveillance et tolérance… Et où toutes les suites sont permises ! Bonne lecture ! Little Princess. PS : Vos commentaires sont toujours ma plus belle récompense… ;)