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Articles

Affichage des articles du août, 2025

Le suivi de Little Princess - Round 2 (4ème partie)

  -             Viens ici, Lucie, m’ordonna mon frère alors qu’il s’asseyait sur le canapé. -             Non ! répondis-je en me réfugiant dans la cuisine. -             Lucie. -             Non ! répétai-je. -             Je vais devoir venir te chercher… -             Laisse-moi tranquille ! C’était la quatrième fois en six jours. Il fallait vraiment que ça s’arrête ! Je n’en pouvais plus de recevoir autant de tannées ! Au début de ce séjour d’août, lorsque mon frère m’avait annoncé qu’il ne me lâcherait pas, je ne pensais pas qu’il irait aussi loin. Lorsqu’il m’avait menacée d’une fessée pour chaque médicament oublié, je n...

Appel aux témoignages !!

 Bonjour à tous !! Comme certain(e)s l'ont compris, je suis en train d'écrire un roman. A ce titre, pour pouvoir développer au mieux la psychologie des personnages, je cherche à recueillir des témoignages. Je fais donc un appel à mes chers lecteurs, uniquement ceux pratiquant ou ayant déjà pratiqué la fessée ! Si vous souhaitez m'aider (et je vous en remercie énormément !), voici les liens pour répondre aux questions : - Pour les tuteurs/fesseurs/dominants, c'est ici ! - Pour les tutorées/dominées, c'est ici ! Merci de répondre aux questions avec le plus de détails et de sincérité possibles.  Je vous remercie énormément pour votre contribution !! Peace, L.P.

Un joli fantôme du passé. - Chapitre 45

  Lundi 3 janvier 2022          Je repris le chemin de la fac, le cœur très lourd. Ce week-end avait été très éprouvant pour moi. Samedi, nous avions déposé Manon à l’aéroport. Ma sœur partait en Somalie avec Médecins Sans Frontières. Nous ne la reverrions que pour le mariage d’Harper et Valentin. Les aurevoirs furent plus difficiles que je ne le pensais, même si je m’y étais fortement préparée ! Hier, nous sommes retournés à l’aéroport de San Francisco pour y déposer Trent, l’amour de ma vie. Il partait un semestre au Japon. Cette fois, les aurevoirs avaient été déchirants, de son côté comme du mien…          Lorsque papa et moi étions rentrés seuls dans notre grande maison vide, un silence pesant s’était installé. Nous étions si tristes ! Papa avait fini par faire livrer des pizzas que nous avions englouties, avachis dans le canapé devant une comédie, histoire de se remonter le moral. ...