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Articles

Affichage des articles du juillet, 2020

Journal d'une étudiante accueillie (Chapitre 19)

Lundi 30 septembre 2019.      Neuf heures. Aujourd'hui, je suis décidée à me mettre Kyle dans la poche, coûte que coûte. J'avais réussi à l'amadouer hier, il était hors de question que je ne réussisse pas à le refaire. – Hi , Marie ! me lança-t-il lorsque j'arrivai dans la salle à manger. Au moins, Kyle est toujours de bonne humeur, ce qui est très agréable ! Je fis le tour de la table pour dire bonjour à Kyle et à mes sœurs, puis m'assis à ma place. – No entourloupe, today , Marie ! me prévint Kyle. – C ‘est beau de rêver, répondis-je en riant. Kyle ne répondit pas. Il devait sûrement se demander à quoi il avait pensé en acceptant de garder ses cousines cette semaine ! Après le petit déjeuner, nous filâmes en cours. Anglais pour Jeanne et moi, Histoire de l ‘art puis espagnol pour Louise et Anaïs. Pendant le cours d'anglais, nous étions en salle informatique. Au lieu de faire les devoirs demandés, je préférai surfer sur internet, notamment su

Journal d'une étudiante accueillie (Chapitres 17 & 18)

Vendredi 27 septembre 2019.      Neuf heures. Même si j’étais réveillée depuis plusieurs minutes, le fait que mon réveil m’indique qu’il fallait sortir de mon lit m’agaça. J’étais tellement bien, emmitouflée dans ma couette ! De plus, je n’avais pas du tout envie de retrouver Kyle. Heureusement que mes sœurs étaient là. Nous allions nous serrer les coudes. Je me levai et sortis de ma chambre. Sur le pallier, Louise était là. – Qu’est-ce que tu fais ? lui demandai-je. Tu ne vas pas déjeuner ? – Je vous attendais, me répondit ma sœur. Je n’ai pas envie d’aller voir Kyle toute seule… – C’est bon, il ne va pas nous manger, hein ! dis-je. – Non, mais avec la claque qu’il nous a mis hier, il a l’air d’être aussi sévère que papa et maman ! s’inquiéta Louise. – Tu parles, dis-je. C’était pour nous impressionner. Moi, je vais le mater en deux minutes, le gars ! – Eh bien on va voir ça, Marie ! dit Jeanne en sortant de sa chambre à son tour. Allons déjeuner, je sens qu’on va se régale