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Affichage des articles du septembre, 2024

Journal d'une étudiante accueillie - Chapitre 71 (3ème partie)

            Mathieu et moi ralentîmes nos respirations jusqu’à vouloir les stopper complètement. Si l’un de mes parents entrait dans ma chambre et se retrouvait face à nos ébats intimes, je ne donnais pas cher de notre peau !        Après quelques minutes interminables durant lesquelles je crus mourir asphyxiée, le silence se fit de nouveau : le couloir était désert. Mathieu et moi terminâmes notre affaire et je courus ensuite me doucher. -     Hey, attends ! me lança mon amoureux en chuchotant. On fait toujours un câlin après l’amour ! Tu me fais quoi, là ?! -     Je vais me laver, Mat’ ! Si par malheur je me reprends une déculottée demain et que ton sperme coule sur le pantalon d’un de mes parents… -     Beurk, t’es dégueu ! -     Peut-être mais il faut quand même effacer toute trace de nos ébats ! Même si je ne risque pas de tomber enceinte, je… Oh, oh. Je blêmis. Mathieu écarquilla les yeux. Nous nous comprîmes instantanément. Avec tous les événements de ce soir, j’ava

Journal d'une étudiante accueillie. - Chapitre 71 (2ème partie)

         Le silence de mort qui régnait dans la voiture ne faisait que rendre la tension encore plus lourde. Mes parents ne disaient rien et je savais qu’ils ruminaient leur colère. Heureusement que le trajet ne dura que quelques minutes !          Mon père rentra la voiture dans le garage et le véhicule s’arrêta. Alors que la porte automatique du garage se fermait, je fus prise d’une irrésistible envie de rester assise dans la voiture pour le reste de ma vie. -     Descendez de la voiture et allez dans le living room ! nous ordonna ma mère. On va avoir une petite discussion ! M’exécutant, je m’assis sur le canapé du salon. Je me rendis compte qu’inconsciemment, je voulais trouver n’importe quelle place assise afin de protéger mes fesses. Mathieu m’imita mais lorsque mes parents le virent faire, mon père le reprit immédiatement : -     Non toi, tu restes debout ! Tu n’es pas chez toi, ici ! Ce n’est pas parce que tu es le petit ami complètement débile de ma fille qu’il faut