Le
silence de mort qui régnait dans la voiture ne faisait que rendre la tension
encore plus lourde. Mes parents ne disaient rien et je savais qu’ils ruminaient
leur colère. Heureusement que le trajet ne dura que quelques minutes !
Mon
père rentra la voiture dans le garage et le véhicule s’arrêta. Alors que la
porte automatique du garage se fermait, je fus prise d’une irrésistible envie de rester
assise dans la voiture pour le reste de ma vie.
- Descendez de la voiture
et allez dans le living room ! nous ordonna ma mère. On va avoir une
petite discussion !
M’exécutant, je m’assis sur le canapé du salon.
Je me rendis compte qu’inconsciemment, je voulais trouver n’importe quelle
place assise afin de protéger mes fesses.
Mathieu m’imita mais lorsque mes parents le
virent faire, mon père le reprit immédiatement :
- Non toi, tu restes
debout ! Tu n’es pas chez toi, ici ! Ce n’est pas parce que tu es le
petit ami complètement débile de ma fille qu’il faut que tu te croies tout
permis !
Devant l’armoire à glace qui me sert de père,
Mathieu était tétanisé. Je continuai de jubiler intérieurement. J’étais
persuadée que désormais, il ne se moquerait plus jamais de moi lorsque je me plaindrais de mes parents !
- Ben alors, tu n’as plus
de langue ?! gronda papa à Mathieu en lui donnant une tape derrière la
tête. Tu réponds : « Oui Monsieur » quand je te parle !
- Oui Monsieur, bégaya le
jeune homme.
- Bon alors maintenant tu
vas nous expliquer comment et pourquoi tu as amené notre fille dans ce bazar !
cria Scarlett en fonçant sur Mathieu et s’arrêtant à quelques centimètres de
lui. Et tu vas le faire sur le champ !
Même si Mathieu dépassait ma mère en taille d’une
dizaine de centimètres, il avait l’air tout aussi apeuré par elle que par mon
père. Alors qu’il peinait à répondre, je tentai :
- Je pense que…
- Tu te tais, Marie !
me coupa aussitôt ma mère. Cette discussion ne te concerne pas encore et tu es
très loin d’être en position de dire quoique ce soit !
Elle se tourna à nouveau vers mon petit ami et
attendit ses explications. Cependant, Mathieu, pétrifié, ne prononçait mot.
- Ok, tu veux jouer à ça ?!
lui demanda mon père. On va jouer ! Mais je te garantis que tu vas perdre !
A la suite de ses mots, Michael baissa le jeans
et le caleçon de mon petit ami puis s’assit sur le canapé pour le basculer sur
ses genoux. Puis, il lui infligea une salve tellement salée que Mathieu ne put que
crier de douleur. Jamais je ne l’avais entendu crier ainsi ; et le fait que
j’assiste à cette scène devait l’humilier encore plus. Je ne savais pas si mon couple
résisterait à cette soirée.
La longue et pénible salve infligée par Michael
à Mathieu terminée, mon père lui demanda :
- Alors, où en étions-nous ?
- Tu devais nous
expliquer comment et pourquoi tu as embarqué notre fille dans tes bêtises, dit ma
mère qui s’était assise sur un fauteuil à côté, de sorte que Mathieu puisse la voir
en levant la tête.
- Je… J’ai payé un pote à
l’armée pour qu’il me produise de fausses cartes d’identité, dit Mathieu d’une
traite.
Michael lui infligea une nouvelle salve sur ses
fesses déjà rouges comme un champ de fraises. Mon petit ami se mit à pleurer
comme une madeleine.
- Ensuite ? demanda
Scarlett qui avait pris sa lime à ongles sur le meuble télé et se limait à
présent les ongles de la main.
- Ensuite je suis allé
chercher Marie et je lui ai dit que nous irions au restaurant et en discothèque
grâce à nos faux papiers, narra Mathieu en tentant de contrôler ses larmes.
- Et qu’a répondu notre
fille ? interrogea la flic.
- Maman, je… tentai-je.
- C’est la deuxième fois
que je te dis de te taire ! me réprimanda ma mère. La prochaine fois que
tu ouvres la bouche, je te donne une fessée ! C’est assez clair, comme ça ?!
J’hochai la tête, penaude.
- Donc, qu’a répondu
notre fille ? insista Scarlett auprès de Mathieu.
- Elle a dit qu’elle
voulait aller voir sa famille biologique et passer du temps avec eux, répondit
mon petit ami.
- Alors pourquoi ne l’as-tu
pas emmenée chez elle ?! gronda mon père.
- J’avais déjà tout planifié
et je pensais qu’on avait besoin de s’amuser un peu, plaida Mathieu.
- Ben voyons ! s’exclama ma mère. Il y a plein d’autres façons de s’amuser en respectant la loi ! Et vous avez déjà fait une fête le week-end dernier, il me semble !
- Je voulais juste passer
une soirée avec Marie et nos amis ! se défendit le jeune homme.
- En transgressant la loi
et en entraînant ma fille dans tes bêtises ?! gronda mon père avant de claquer
à nouveau violemment le derrière nu et brûlant de Mathieu.
Cette fois-ci, mon amoureux se débattit. Enfin,
il tenta de se débattre. Sa virilité en prit un sacré coup lorsque je vis la
facilité avec laquelle mon père le maîtrisait. Michael en ajouta une couche en raillant :
« Eh bien alors ? On ne supporte pas deux-trois claques sur les
fesses ? » ; tandis que Mathieu continuait d’essayer de se
libérer et de pleurer.
- Bien ! dit mon
père en se stoppant au bout de quelques minutes.
Il releva Mathieu de ses genoux et se mit
debout face à lui avant de reprendre :
- Maintenant on va parler
de ta responsabilité vis-à-vis de ma fille ! A quel moment est-ce
que tu laisses ma fille sortir en public habillée dans cette tenue ?!
Et à quel moment est-ce que tu prends de la drogue alors que tu transportais
ma fille dans ta voiture ?! Quel genre de petit ami es-tu, au juste ?!
- Je suis désolé,
Monsieur ! pleurait Mathieu.
- Tu le seras encore plus
dans quelques minutes ! Je vais te faire passer l’envie d’entraîner ma
fille dans tes plans foireux !
Devant mes yeux écarquillés de terreur, Michael
enleva sa ceinture et la plia en deux. Je ne pus m’empêcher d’intervenir :
- Papa, non ! S’il te plaît !
Ma mère me fonça alors dessus, me bascula sur
le côté et me colla cinq bonnes claques sur le derrière.
- La prochaine sera déculottée !
me prévint-elle alors que les larmes me montaient aux yeux. Tu la boucles !
Et le premier coup de ceinture tomba sur les
fesses de mon homme ; et les suivants aussi. Mathieu en prenait vraiment
pour son grade, vraiment beaucoup trop ! Surtout que mon père ne cessait d’appuyer
ses coups avec des paroles tout aussi percutantes les unes que les autres :
- Espèce de p'tit morveux !
Tu croyais vraiment pouvoir emmener ma fille dans tes sales coups et t’en
sortir indemne ?! Attaque-toi à ma fille et tu me trouveras sur ton
chemin, gamin ! Je te l’assure ! Tu ne sais pas de quoi je suis capable !
Je peux te matraquer les fesses pendant des heures, s’il le faut ! Et je
le ferai jusqu’à ce que tu comprennes que tu n’as vraiment pas intérêt à
recommencer ! Tu l’as mise en danger, espèce d’abruti ! Et tu t’es
également mis en danger par la même occasion ! S’il t’arrivait quelque
chose, elle aurait le cœur brisé ! C’est ce que tu veux ?! Tu veux
briser le cœur de ma fille ?!
- N…on, …Mons…ieur !
gémit Mathieu en dansant sous la ceinture.
- Nous sommes d’accord !
Mathieu dut se prendre une centaine de coup de
ceinture de la part de mon père. Ses fesses arboraient désormais de petits
bleus.
- Tu penses que tu en as
assez pris ?! gronda Michael à Mathieu.
- Ou…i… Mon…sieur…
- Alors j’attends tes excuses !
Et calme-toi avant car je ne comprends rien quand tu pleurniches comme ça !
Papa était volontairement dur avec Mathieu, et
je le savais ; ça ne rendait pas l’épisode plus supportable pour autant.
- Je suis vraiment désolé
d’avoir entraîné votre fille dans mes bêtises, je vous promets que je ne recommencerai
plus et que je me comporterai de façon plus mature et plus responsable, débita
Mathieu en une expiration.
- Maintenant tu vas m’écouter
attentivement, ordonna papa. Si tu aimes sincèrement ma fille et que tu veux
passer toute ta vie avec elle, il y a des règles que tu vas devoir suivre !
Ne jamais la faire souffrir, ne jamais l’entraîner dans tes mauvais coups et
surtout ne jamais te montrer irresponsable envers elle ! Si tu ne
respectes pas ces règles-là, tu me trouveras sur ton chemin ! Que tu aies
vingt, trente, quarante ou cinquante ans, je n’hésiterai pas à te déculotter
pour t’en coller une !! Me suis-je bien fait comprendre ?!
- Oui Monsieur Webber,
répondit Mathieu d’une petite voix.
- Bien ! Je vais
quand même m’assurer que tu aies correctement compris le message !
Et Mathieu se reprit une très bonne déculottée
sur les genoux de mon père, déculottée qui dut lui faire bien mal vu tout ce qu’il
avait déjà reçu jusqu’à présent.
- La chambre d’amis est
au premier étage, dit mon père lorsqu’il eut terminé son œuvre. C’est la deuxième
porte à gauche. Il y a une salle de bains attenante. Prends un des peignoirs
dans l’armoire. Tu vas te doucher et te coucher. Dis au revoir dès maintenant à
Marie car comme te l’as dit ton capitaine, tu ne la reverras pas avant Noël !
Et ça, ce sera seulement si ma femme et moi avons décoléré !
Mathieu, à demi-nu, s’avança vers moi et m’embrassa
furtivement sur la bouche avant de monter au premier étage.
Comme
un goût de déjà vu s’empara de moi lorsque je me retrouvai seule face à mes
parents.
- Comment as-tu osé
sortir dans cette tenue ?! me gronda mon père.
- Je sais que je vous ai
énormément déçus, dis-je. Je suis vraiment désolée, je n’ai rien contrôlé, je…
- Tu ne réponds pas à la
question, Marie ! continua ma mère sur le même ton que son mari.
Alors je fondis en larmes. C’était trop. Trop
de pression, trop d’appréhension, trop de tension… Trop.
Je sentis que mes parents s’adoucissaient
légèrement puisque ma mère prit la parole pour me dire :
- Marie, on sait que tu t’es
fait embarquer dans une histoire qui t’a dépassée. Nous commençons à te
connaître et vu ton comportement de ces derniers jours, tu n’aurais pas toi-même
décidé de mener cette expédition ! De plus, nous sommes fiers de toi pour
avoir résisté à l’appel de la drogue.
Ouf. Peut-être que ça ira, finalement !
Scarlett poursuivit :
- Néanmoins, il y a
plusieurs choses pour lesquelles nous ne sommes pas contents du tout !
Bon, c’était mort. Mes espoirs s’effondraient. Une
bonne déculottée allait me tomber dessus. Ma mère enchaîna :
- Comme nous le disions à l’instant, le fait que
tu sois sortie dans cette tenue est tout simplement honteux ! N’as-tu donc
aucun respect pour toi-même ?! Après ça, tu n’arriveras plus à nous faire
gober que tu es complexée car on ne te croira pas !!
- Mais maman…
- N’interromps pas ta
mère ! m’ordonna mon père.
Je me tus donc.
- Ensuite, il y a
plusieurs fois au cours de la soirée où tu aurais pu dire : « non » !
continua maman. Tu aurais très bien pu appeler tes parents biologiques ou
nous-mêmes pour que nous venions te chercher et ce, dès que Mathieu t’a énoncé
le déroulement de la soirée ! Au lieu de ça, tu as choisi de suivre le groupe !
Alors d’accord, je veux bien que l’effet de groupe t’ait entraînée, mais quand
même !
- Mathieu m’a dit que…
- Et si Mathieu te dit de
sauter par la fenêtre, me coupa mon père, tu vas le faire aussi ?!
- Non papa.
- Tu es très intelligente,
Marie, nous le savons tous ! précisa mon père. Mais ce soir, tu n’as pas
réfléchi une seule seconde aux conséquences de tes actes ! La sagesse, c’est
aussi savoir dire « non » !
- Donc tu vas prendre une
fessée, annonça Scarlett.
- Non maman, j’t’en
supplie !! priai-je. Punissez-moi autrement, privez-moi de n’importe quoi
mais pas la fessée, j’vous en supplie !!
- Oh que si tu vas en
prendre une, insista mon père en s’emparant de mon bras pour me lever du
canapé. Et nous sommes gentils parce que rien que pour ta tenue complètement
indécente, tu mériterais de prendre une fessée chaque soir pendant une semaine !
Je me retrouvai alors là où était Mathieu
quelques minutes plus tôt : sur les genoux de mon père. Je pleurais déjà à
chaudes larmes avant même qu’il ne me touche et ne cessais de le prier :
- S’il te plaît, papa !
S’il te plaît ! Pas la fessée ! Pas la fessée, papa ! Je t’en
prie ! Je ne recommencerai pas ! Pitié, papa !
J’entendis mon père pousser un grand soupir
puis me répondre :
- Tu as fait trop de
bêtises en une seule soirée, ma puce. Nous sommes profondément désolés car ça
nous fait très mal au cœur, mais ta mère et moi ne pouvons pas laisser passer
cela.
Mon père n’eut aucun mal à remonter ma courte robe et
découvrit avec horreur que je portais un tanga (qui est à mi-chemin entre la
culotte et le string) en dentelle.
- Nan mais tu te fiches de
moi ?! me gronda-t-il. C’est quoi ce sous-vêtement de femme de trottoir ?!
Je ne portais en général ce tanga que le week-end,
Mathieu l’aimant beaucoup. Cependant, il est vrai qu’il ne couvrait qu’une
petite partie du haut de mes fesses, laissant tout le reste à l’air libre.
- Je suis désolée, papa !
On était le week-end et je…
- Tu vas assumer ! vociféra-t-il.
Je vais le laisser à sa place et tu vas assumer de l’avoir porté !
Mon père commença à me fesser et effectivement,
c’était comme s’il m’avait déculottée. Il n’y avait pratiquement aucune
différence, si ce n’est que le haut de mes fesses n’était donc pas visé par les
claques paternelles.
Au bout de deux ou trois minutes, ce fut ma
mère qui mit fin à mon supplice en suggérant à mon père d’arrêter, pensant que
j’en avais pris assez. Mon derrière était brûlant et mon visage ruisselant de
larmes.
Après m’avoir laissée me relever, Michael m’attrapa
par le bras et m’emmena dans ma chambre.
- Vide-moi tout ton
dressing !! me gronda-t-il. Maintenant !!
Ne voulant pas accentuer la colère paternelle,
je m’exécutai. Michael fouilla alors dans mes affaires sous le regard de sa
femme qui cautionnait tout cela. Mon père attrapait chaque string, chaque
tanga, chaque mini-jupe ou robe jugée trop courte et les balançait en fulminant :
- Ça, c’est poubelle !
Ça aussi ! Et ce truc-là aussi ! Il est hors de question que tu t’habilles
comme une traînée une minute de plus ! Pareil pour ce bout de tissu !
Et parfois, mon derrière prenait quelques
claques en passant, appuyées par les commentaires paternels :
- Mais comment est-ce que
tu peux porter ça, Marie, hein ?! Comment ?!
- Nous irons te racheter
des vêtements décents dès lundi pour compenser ceux que tu vas perdre ce soir, m'informa Scarlett.
Lorsque le tri fut terminé, papa me demanda d’amener
un sac poubelle, ce que je fis. Il mit tous les vêtements trop osés à l’intérieur
et décréta qu’il irait les porter à la déchetterie dès demain. Puis, il ajouta :
- Si je te vois avec un
décolleté, ou avec une jupe ou une robe t’arrivant au-dessus du genou, ou encore
avec un dos-nu, tu prendras une bonne fessée, Marie ! Très bonne, même !
J’avais envie de rétorquer que de toute façon,
il venait de tout jeter, avant de penser qu’il me restait des habits de ce
genre chez mes parents biologiques.
- Tu restes bien
évidemment privée de téléphone, poursuivit ma mère et tu es également privée de
sortie jusqu’aux vacances de Noël ! Si tu as l’audace d’essayer de nous
demander de sortir avec tes amis, gare à tes fesses !
- Va te doucher et n’oublie
pas de remettre ton attelle juste après ! continua Michael. Et tu me jetteras
ta robe à la poubelle lorsque tu l’auras enlevée ! Ainsi que ton truc qui
te sert de culotte !!
Je me couchai après avoir obéi à mes parents et
sans faire d’histoires. Par rapport à ce que j’imaginais, je ne m’en étais pas
trop mal sortie. Au moins, j’étais vivante et mes fesses seraient vite rétablies.
En m’endormant difficilement sans les bras de
Mathieu que je mourais d’envie de retrouver, j’espérais de tout cœur que le
reste du week-end se passe bien mieux qu’aujourd’hui !
- Tibou, tu dors ?
- Mat ?! chuchotai-je
en me réveillant et en voyant mon petit ami dans ma chambre. Qu’est-ce que tu fous
là ?! Si mes parents te voient dans ma chambre, ils vont te buter !!
- Je n’arrive pas à
dormir sans toi. Je veux pouvoir dormir avec toi, en plus c’est la dernière
nuit avant longtemps…
Je ne pus résister. Mathieu et moi sombrâmes
alors dans un moment des plus intimes. Nous étions sur le point de terminer
lorsque nous entendîmes des bruits de pas dans le couloir. Nous nous figeâmes
tous les deux.
A suivre…
Mme la Présidente ! Je fais appel de votre décision d'avoir puni Marie. Ce n'est pas juste pour elle, un sermon et un rappel à la loi aurait largement suffi. Mathieu est vraiment un sale gamin qui n'en a pas eu assez puisqu'il retourne dans la chambre de Marie alors qu'il en a interdiction, si je ne m'abuse... Quant à confisquer les sous-vêtements de Marie... C'est un peu limite...
RépondreSupprimerMichael a vraiment abusé en jetant les vêtements de Marie à la poubelle !
RépondreSupprimerJ'espère pour eux qu'il s'agissait d'une fausse alerte 😏
RépondreSupprimeril faut croire que Mathieu n'en a pas reçu assez pour oser défier l'autorité et rejoindre Marie dans sa chambre ... et Marie n'a pas su dire non !
Je trouve qu'ils ont été juste dans les sanctions. Marie se plaint toujours de son physique, se fait vomir mais sort en tenue très légère en boîte... c'est très contradictoire !
RépondreSupprimerNéanmoins, je trouve que Mickael abuse beaucoup effectivement. Je pense qu'il peut y avoir 2 poids 2 mesures. Les tenues légères à la fac ou en boîte ne sont pas appropriées, mais en plein été, à la plage ou en balade familial il est tout à fait normal de pouvoir s'habiller un peu plus léger et de son âge ! Quand aux tanga et strings, chacun voit comme il veut mais sérieusement, c'est hyper compléxant en jean serré quand on est en surpoids de voir les marques de culottes en dessous. Un strings permet de se sentir mieux avec un pantalon moulant ou un legging. Mais bon, avec une mini jupe, je suis d'accord, ce n'est peut-être pas la manière la plus intelligente de le porter.
Je pense que Mickael et Scar pourraient revoir leur position en proposant de mettre de côté quelques tenues pour des occasions spéciales.
On n'est pas au couvent quand même !!!
J'espère que Michael et Scarlett vont tenir compte de son avis pour le choix des nouveaux vêtements et sous-vêtements 🤔
SupprimerJ’adore ce que tu fait comme d’habitude
RépondreSupprimerVivement la suite
Quand va tu mettre la suite de « nouvelle rentre nouvelle vie » et « un jolie fantôme deux passer »
RépondreSupprimerJ’ai trop hâte de connaître la suite des aventures de Marie zoe et clémence
Continue ce que tu fait c’est super