Mardi 26 octobre 2021 Ma grasse matinée m’avait fait énormément de bien : j’étais requinquée et prête à affronter la journée. Le soleil était présent, ce qui me donnait du baume au cœur. J’étais vraiment de bonne humeur ! Enfin, jusqu’à ce que j’arrive dans le séjour… - Zoé, il est déjà midi moins le quart, me réprimanda Jacob. Tu dois partir pour l’école à treize heures. Tu n’as pas mangé, tu n’es pas habillée ni préparée. Cesse de traîner ! - Bonjour, sinon ! lui rétorquai-je. J’ai bien dormi, si ça t’intéresse. - Oui, bonjour, répondit-il avec une pointe de honte dans la voix. Désolé. C’est juste qu’avec les événements d’hier, je compte bien à ce que tu ailles en cours aujourd’hui ! Que Jacob ne s’inquiète pas : à treize heures piles, nous partions de la maison. Nous avions à peine parcouru deux cents mètres que le téléphone ...
Lundi 10 mars. Ma journée de travail est terminée, il est aux environs de dix-sept heures et je suis dans ma chambre à pleurer toutes les larmes de mon corps parce que Gabriel me flanque une volée magistrale. J’ai beau avoir de la pratique et un peu d’endurance, je n’en suis plus à recevoir une fessée par semaine. Je ne suis plus habituée. La dernière remonte à cinq semaines. Gabriel y va fort et flirte avec mes limites physiques. Néanmoins, je lui fais confiance. Il me connaît. Il sait jusqu’où il peut aller ou non. Cette fessée à la main et au martinet me fait très mal, certes, mais fort heureusement Gabriel ne tape pas aux endroits sensibles, ce qui m’aide à supporter cette tannée. D’ailleurs, les deux seules claques qui sont tombées sur le bas de mes fesses m’ont fait vivement réagir : « Non, pitié ! Arrête ! Surtout pas ! ». Mon grand frère s’était alors empressé de me pencher sous son bras ; mes endroits sensibles...