Je suis toujours très anxieuse
quand je rencontre une nouvelle personne. Je n’ai absolument pas confiance en
mon physique. Hugo a beau me répéter que je suis magnifique chaque jour que
Dieu fait, je sais pertinemment que c’est à travers ses yeux d’homme amoureux qu’il
me voit. Pour les gens lambdas (autres que ma mère), c’est différent.
J’ai toujours été complexée par ma couleur de peau.
Mère française et père sénégalais : une peau couleur chocolat au lait qui
m’a valu beaucoup de discrimination et de contrôles d’identité. De plus, mes
traitements médicaux et notamment le fait que je sois dans le pic de maladie m’ont
fait prendre du poids. Résultat : j’ai toujours trente-six mille questions
qui me viennent en tête lorsque je rencontre une nouvelle personne et ce, dans
chaque domaine de ma vie.
Puisque j’étais clairement démissionnaire concernant
ma recherche de tuteur, une bonne amie à moi, Gabie, a pris le relais. On
pourrait croire que je sous-traite ; c’est une façon de voir les choses.
Néanmoins, je dirais plutôt que mon amie a l’énergie et l’espoir que je n’avais
plus.
Elle m’envoya donc plusieurs candidats : parmi
eux Simon, trente-trois ans, parisien. Nous nous échangeâmes quelques mails
dans lesquels Simon exprimait son envie de me prendre en mains. Il était très
intrigué par le côté réel et non fantasmé de mon tutorat et cela lui donnait
envie de s’occuper de moi. Soit. Nous passâmes à une conversation WhatsApp.
Sur cette appli, nous échangeâmes presque non-stop.
Seule la nuit éteignait nos échanges. Le feeling passait extrêmement bien avec
Simon. Néanmoins, il m’impose le vouvoiement et le nom de « Monsieur ».
Je me fais violence (encore à l’heure où je vous écris !) pour respecter cette
règle. En effet, cela met une distance entre Simon et moi, qui profite à l’instauration de son autorité. C’est donc la première barrière que j’aimerais briser afin de
lui faire comprendre que c’est moi qui commande et non lui. Cependant, il tient
beaucoup à ce fameux vouvoiement et n’y transige pas, je m’y plie. Mieux vaut
cela que d’en prendre une…
Par message, je titille beaucoup Simon. Je lui lance
des pics, le pousse beaucoup pour voir où sont les limites. Lorsque je lui donne
une information sans qu’il ne me remercie, je lui lance : « "Merci", ça
vous arracherait la tronche ?! ». Lorsqu’il me demande de remplir le
tableau de suivi de mon tutorat, je lui renvoie un : « Faîtes-le
vous-même ! ». Lorsqu’il me prévient que mes fesses vont le payer, je
lui rétorque : « Ça se trouve, vous êtes un fesseur de pacotille qui
donne des fessounettes ! ». Je cherche à le faire sortir de ses gonds
et cela ne fonctionne malheureusement pas. La première phase de test est donc
concluante et cela démarre très bien pour Simon, de mon point de vue.
Nous fixons un rendez-vous pour le lundi 21 mars ;
néanmoins, mon cadeau mensuel menaçant d’arriver, je propose à Simon de reculer
notre rendez-vous d’une semaine.
-
Ça fera beaucoup de cases rouges à rattraper sur
ton tableau si on recule d’une semaine, me prévint-il.
Il n’avait pas tort. Mon tableau Excel était déjà bien plein. Je lui proposai :
-
Sinon, on peut se voir aujourd’hui.
Simon accepta. Etant très
libre au niveau de son activité professionnelle, il peut organiser ses journées
comme il le souhaite. Ce ne fut donc pas un problème pour lui de me consacrer
son début d’après-midi.
Dans le train m’amenant à Paris, j’étais on ne peut
plus stressée. Simon n’était pas du genre à rigoler ; je n’avais pas la
sérénité que j’avais avec d’autres. Je discutais simultanément avec Gabie
et Gabriel leur disant que l’angoisse se faisait star en moi. De plus, comme une
cruche, j’avais mis une robe, ce qui faciliterait la tâche à Simon.
Mon nouveau tuteur vint me chercher à la sortie du
métro. J’étais super contente de le voir enfin, tout en appréhendant ses
pensées vis-à-vis de moi ; mais je n’y eus heureusement pas accès.
Simon m’emmena boire un verre dans un café non loin
de chez lui. Il prit un Perrier, je pris un thé (on me servit de l’eau froide,
d’ailleurs ! Nous dûmes nous signaler à la serveuse pour obtenir de l’eau
chaude !). Nous discutâmes sur nos vies respectives.
Simon est un vrai gentleman.
Le genre idéal dans toute sa splendeur : il fait en sorte de ne jamais marcher
devant une femme, tient les portes pour que nous puissions entrer, décale le mobilier
pour que nous puissions nous asseoir… Il m’a, de plus, offert le thé sans que
je n’aie l’occasion de jeter un œil à l’addition ou de dire quoique ce soit. Cela
me surprit dans le bon sens du terme : les gentlemans comme lui se font
rares en 2022 !
En discutant avec Simon, je me rends compte que le feeling
passe aussi bien en réel qu’en virtuel. Je le trouve attentionné, ouvert d’esprit
et très intelligent. Ce moment met en lumière une chose en moi : ce nouveau
tuteur va me faire la misère. Ce genre d’homme gentil et bienveillant se révèle
en général être de redoutables dominateurs. D’ailleurs, plusieurs signes m’indiquent
que j’ai raison : Simon prit pas mal de choses en mains durant cette
après-midi ensemble, jusqu’à mettre lui-même mon sachet de thé dans ma théière
afin qu’il infuse.
Le temps nous étant compté (j’avais mon train retour à
prendre, et Simon avait un rendez-vous professionnel), Simon prit la décision
de nous faire quitter le café où nous étions pour nous rendre chez lui.
Son immeuble est assez atypique et bourré de charme. Je
l’adorai immédiatement et eut envie de le visiter tout entier. Il me faisait
penser à la maison d’Alice au pays des merveilles, pleine de coins et de
recoins.
Après avoir monté quelques étages, nous arrivâmes
dans l’appartement de Simon. J’étais essoufflée : depuis mon opération abdominale
il y a un an et demi, je n’ai toujours pas récupéré mon souffle. Pourtant, j’aurais
encore pu monter quelques étages sans problème, moi qui ai un stepper à la maison
et qui l’utilise très régulièrement !
L’appartement de Simon est le
rêve de tout lecteur. Pas moins de quatre mille livres (oui, oui ! Quatre
mille !) y sont entreposés. Je fais un petit tour de toutes ces œuvres littéraires,
rêvant d’en avoir autant chez moi plus tard.
Après un passage au pipi-room, Simon me demande de m’asseoir
sur le canapé. Il s’assoit dans un fauteuil en face et j’ai carrément l’impression
d’être chez le psy. Il me pose des questions évasives me renvoyant à mes propres
pensées :
-
Qu’as-tu à dire ?
-
Ben…J’en sais rien, moi ! m’exclamai-je.
-
Tu n’as rien à dire ?
-
A propos de quoi ?
-
Eh bien, à propos de ton tableau ! Il n’y a
pratiquement que du rouge.
-
Je vous avais prévenu, affirmai-je.
-
Alors, qu’est-ce qu’on fait ?
-
Ben…On en discute et on voit ce qu’on peut
améliorer, proposai-je.
Je savais que ma proposition
ne serait pas choisie mais qui ne tente rien n’a rien…
-
Eh bien, je t’écoute, me dit Simon. Discutons-en.
-
Ben…j’sais pas quoi dire, moi…
Puisque je n’étais pas très loquace,
cette discussion tournait en rond. Il entreprit de parler du cours séché mercredi
matin.
-
Tu n’as qu’un seul cours en présentiel par mois,
et tu n’es même pas capable d’y aller !
J’eus envie de lui dire que
si, j’en étais capable. Je n’avais juste pas eu envie de m’y rendre. Néanmoins,
j’optai pour une autre réponse :
-
Il est chiant à mourir, ce cours !
Nous entrâmes dans un débat
inutile entre moi qui essayais d’expliquer à Simon que ce cours ne servait à
rien, et Simon qui trouvait mes arguments irrecevables. Au bout de quelques
minutes, il m’ordonna :
-
Bon, mets-toi debout.
Je le regardai d’un air de
dire : « T’es sérieux, là ? » mais je ne pense pas qu’il le
remarqua. Néanmoins, en voyant que je ne me levais pas, il insista immédiatement :
-
Aller, aller ! Debout !
Je soupirai d’agacement et me
levai. J’arborais un petit air insolent qui voulait clairement dire : « On
va voir si tu vas réussir à me discipliner ! ». Néanmoins, je devais
bien avouer que je craignais déjà Simon avant même qu’il ne m’ait touchée. Ça ne
m’avait pas fait ça depuis…Thomas.
-
Enlève ta robe, m’ordonna Simon.
Euh…quoi ? Je crois que
nous n’avons pas bien défini les limites. Il est hors de question que j’enlève
ma robe. Je vais déjà être à nu en bas, il est hors de question que je le
sois totalement. Néanmoins, j’avais un débardeur en-dessous ma robe. Cette
fois-ci, je pouvais donc accepter de l’enlever.
-
Non, répondis-je uniquement pour tenir tête à
Simon.
-
Je compte jusqu’à trois. Un…
-
Non !
-
Deux…
-
J’ai dit non ! dis-je avec aplomb.
Simon me fonça dessus, souleva
ma robe, et je pris trois claques monumentales sur le collant. Outch. Ça commence
bien. J’avais totalement raison de le craindre. J’acceptai d’enlever ma robe et
me retrouvai en débardeur et collant.
-
Tu enlèves ton collant aussi.
Je m’exécutai, me disant que
mes fesses n’allaient pas tarder à chauffer sévère.
Simon me demanda de venir jusqu’à lui puis de me
tourner. Il était assis et j’étais debout dos à lui. Il attrapa l’élastique de
ma culotte et entreprit de la baisser : je luttai aussitôt en essayant d’attraper
à mon tour l’élastique pour remonter ma culotte. Quelques très bonnes atterrirent
sur mon derrière, si bien que je ne luttai pas longtemps.
Simon me demanda ensuite de
venir sur ses genoux. Puisque je refusais en reculant (vu le calibre des premières
claques, m’allonger en travers de ses cuisses ne me tentait pas du tout !),
il attrapa mon poignet et insista. Quelques secondes plus tard, j’étais à plat ventre
sur ses genoux.
Je dus prendre entre dix et
quinze claques plutôt costaudes. Tellement costaudes d’ailleurs, que je ne mis
pas longtemps à dire : « Stop, stop ! C’est bon ! Je ne
sècherai plus les cours ! ». Immédiatement, la salve s’arrêta.
Néanmoins, Simon me fit ensuite agenouiller sur le canapé et continua de me
filer les très bonnes claques qui définissaient ce début de séance.
-
Alors ? Il dit quoi le « petit fesseur » ?
me lança-t-il avec une pointe de vengeance.
Ok, d’accord. Ma provocation par
message où je disais : « ça se trouve, tu es un fesseur de pacotille
qui donne des fessounettes ! » était très mal venue et je la payais
bien. Cependant, j’aurais aussi pu avoir raison !
Je dirais qu’une bonne centaine de claques tombèrent
à la volée sur mes fesses : tantôt parce que je ne me tenais pas
correctement au coin, tantôt parce que je lâchais un : « putain ! ».
Et puis, je soufflais d’agacement.
-
Tu souffles encore ?! Je déteste ça ! A
chaque fois que tu souffleras, tu en prendras une ! C’est clair ?
-
Oui.
Je pris une claque. Pourquoi ?
J’ai également omis de préciser qu’à chaque fois que je ne répondais pas par « oui,
Monsieur » ou « non, Monsieur », la main de Simon atterrissait
violemment sur mes fesses.
Jusqu’à présent, je n’avais pas pris de longue fessée
qui me ferait regretter d’être née, comme pouvaient me donner Gabriel, Thomas
ou Yves. Je continuais alors de pousser les provocations aux niveaux supérieurs.
-
Qu’as-tu à dire pour ton insolence ?
-
Pardon.
-
On dit : « Veuillez m’excuser,
Monsieur ».
J’eus un rire discret. Pour me
faire dire ça, il allait devoir s’accrocher.
-
On dit : « Veuillez m’excuser, Monsieur » !
insista-t-il.
-
Je ne le dirai pas.
Deux bonnes claques tombèrent
sur mes fesses. Mais il en fallait plus pour me faire craquer.
-
« Veuillez m’excuser, Monsieur » !
réitéra Simon.
-
…
-
Je n’ai pas entendu !
-
Allez vous faire foutre, lâchai-je insolemment.
-
Qu’est-ce que tu as dit ?!
-
J’ai dit : « allez vous faire foutre » ! répétai-je avec aplomb.
-
Tu répètes, en plus ?!
La réaction de Simon ne se fit
pas attendre : je pris une bonne fessée debout, constituée d’une vingtaine
de claques que personne n’aurait aimé recevoir. Heureusement qu’elle fut
courte. J’avais osé répondre ainsi à Simon ! Ai-je besoin de vous préciser
que si j’avais répondu cela à Gabriel ou à Thomas, j’aurai pris une tannée monumentale
d’un bon quart d’heure ?
Le fait que je ne reçoive « qu’une »
vingtaine de claques (que j’ai tout de même bien sentie passer, soyons honnêtes !)
me conforta dans mon idée de continuer à provoquer Simon. « La fessée ne
sera pas bien longue, me disais-je. Serre les dents, ça sera vite fini. »
C’est d’ailleurs ce qui me
sauva tout au long de la séance : le fait que les salves soient très
courtes. Sans cela, je pense que les larmes auraient été au rendez-vous.
Cependant, je sais pertinemment que Simon a de la réserve.
Il est parfaitement capable de monter crescendo ; je fais donc très
attention à ce que je vous écris !
-
Parle-moi de tes séances avec Thomas.
-
Vous voulez savoir quoi ?
-
Comment ça se déroulait, est-ce qu’il tapait
fort, est-ce qu’il tapait longtemps…
Il est vrai que mon tutorat
avec Thomas est une réelle référence pour quelconque tuteur souhaitant me
prendre en mains : Thomas est le premier qui ait réussi à me faire filer
droit durant un an, et qui ait obtenu d’aussi bons résultats avec moi, sur tous
les plans.
J’exposai à Simon quelques informations sur le
tutorat avec Thomas, même si mon nouveau tuteur a déjà commencé la lecture de
la rubrique « Le tutorat de Little Princess » et possède déjà pas mal
de renseignements.
Alors que je sortais du coin, Simon me demanda de
venir me pencher sur un tabouret, qu’il avait approché du canapé sur lequel il
était assis.
-
Viens te mettre en position.
-
Non ! C’est trop près de vous !
C’était surtout trop près de
ses redoutables mains, en fait !
-
Viens te mettre en position !
-
Ecartez le tabouret de vous !
-
Dépêche-toi !
-
Ecartez le tabouret de vous ! soutins-je.
-
Je compte jusqu’à cinq. Je te promets que si tu
ne t’es pas mise en position à cinq, tu vas prendre une volée monumentale.
Dans ma tête, je fis une hypothèse :
en lui disant : « allez vous faire foutre », j’avais pris vingt
très bonnes claques. Sûrement qu’une « volée monumentale » serait
composée de…cinquante claques ? Je pourrais survivre. S’il m’avait promis
ne serait-ce que trois minutes de fessée, vu les fessées qu’il donne, j’aurais
vraiment réfléchi à deux fois. Mais là, cinquante claques, je pouvais encaisser.
Je savais qu’avec Gabriel, Thomas et Yves, une « volée monumentale »
m’aurait conduite à dix bonnes minutes en travers de leurs genoux. Mais ce n’est
pas le cas de Simon. Du moins, pas encore. Je gardais toujours en tête le fait
que nous n’en étions qu’à la toute première séance.
Je le laissai compter jusqu’à cinq, puis se lever et me
foncer dessus. Il m’attrapa par l’oreille et me fit me pencher sur le tabouret.
Je pris cent dix bonnes claques que je dus compter. Cette fois-ci, ce qui me
sauva des larmes était que Simon ne tapait pas aux endroits sensibles : le
bas de mes fesses et notamment la jointure fesse-cuisse avait été épargnée tout
au long de cette série. Néanmoins, ces cent dix claques furent plutôt bonnes et
accentuèrent la rougeur de mon derrière. De plus, puisque j'avais protesté et cassé la position que je tenais, Simon me fit recommencer le compte à zéro. Au total, j'avais donc pris cent trente-deux claques.
Lorsque Simon annonça le clap de fin de la séance, j’étais
soulagée. Ma douleur aux fesses n’était pas bien forte (comparé à ce que j’avais
déjà pris par le passé !) mais elle était néanmoins présente. L’autorité
de Simon était installée et bien que je me plaise encore à le provoquer, je ne
le ferai désormais pas en toute quiétude ! Simon est capable de filer des
claques très costaudes qui remettent très correctement les pendules à l’heure.
En rentrant à la maison, j’envoyai par mail un bilan à
Simon sur les points positifs et négatifs de la séance, comme il me l’avait
demandé. Puisque nous continuâmes de discuter sur WhatsApp, je décidai de lui
avouer :
-
J’ai un devoir de sciences à rendre pour ce soir
minuit…
-
Sérieusement, Lucie ?! Je vois que la séance
n’a eu aucun effet.
-
Oui. Je n'ai pas osé le dire lorsque j'étais en
face de vous, de peur d'en prendre une un peu plus vive que les autres...
-
Tu seras sanctionnée pour ça. Mensonge par omission.
-
Ce n'est pas un mensonge... Je vous ai envoyé la
liste de mes échéances…
-
Et alors ?
- Eh bien vous le saviez. Ce n'est pas un mensonge par omission.
-
Je serai plus strict la prochaine fois. La
séance sera mieux construite. Et je serai plus attentif à tes devoirs.
Bon. C’était dit. Je sais que
Simon est très rigoureux et que lorsqu’il dit quelque chose, il le fait. Je
pouvais d’ores et déjà m’attendre à des représailles salées.
Au fil de la conversation, Simon me fit également
remarquer que si je ne me mettais pas au travail, je serai amenée à faire un
petit séjour chez lui. Quelques jours, assise à une table, n’ayant d’autre
choix que de faire mes devoirs. Ce sera très simple : soit je travaille,
soit c’est la fessée.
Il allait vraiment falloir que
je commence mon mémoire et que je rende mes devoirs en temps et en heure.
Quelques jours chez Simon ?! A devoir prendre mes médicaments, me coucher
à 22h30, travailler mes cours, etc… Un véritable enfer. La punition ultime.
Simon m’a bien fait comprendre que puisqu’il organise
ses journées comme il veut au niveau professionnel, il peut me convoquer tous
les jours s’il souhaite. J’ai donc intérêt à me tenir comme il faut.
Une chose est sûre : je ne suis vraiment pas
pressée d’être à la prochaine séance.
A suivre…
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