Accéder au contenu principal

Focus sur... Monsieur Eric

 





Avertissement : ces portraits donnent MA vision des personnages. Ce n’est pas forcément la vôtre. Si vous pensez être déçus car cela ne correspond pas à la façon dont vous vous imaginiez les personnages, ou si vous souhaitez garder votre propre vision des personnages, alors ces portraits de sont pas faits pour vous.

Amitiés, L.P.

 

Focus sur…

 

Monsieur Eric

Nouvelle rentrée, nouvelle vie !


Si Monsieur Eric existait dans la vie réelle, je l'imaginerais ainsi (image générée par Intelligence Artificielle) :





Principales informations :

 

Nom : *Confidentiel*

Prénom : Eric

Date de naissance : 2 novembre 1970

Âge au moment du premier chapitre : 48 ans

Importance du personnage : personnage secondaire

Origines : père d’origine allemande, mère d’origine française

Profession : directeur d'un pensionnat pour filles

Caractère : Divorcé et père de deux grands garçons, Monsieur Eric est un homme bienveillant, généreux et attentionné. De nature plutôt stricte, il n'hésite cependant pas à faire passer ses sentiments avant sa raison, même si cela lui joue parfois de mauvais tours ! 

Directeur très apprécié, Eric se dévoue corps et âme à son travail, qui le passionne.


Rencontre.

 

Des questions à poser à Monsieur Eric ? N’hésitez pas à commenter ou à m’envoyer un mail, il y répondra avec plaisir !


2 novembre, jour de votre anniversaire ;)

Un tête à tête au restaurant avec votre protégée :) quelle heureuse coïncidence !

J'aurais été heureux de partager un dîner avec l'ensemble des pensionnaires. Mais Clémence avait besoin de moi.

Dès le premier jour, Clémence a dévoilé son caractère rebelle et a eu le privilège de découvrir votre bureau... Vous vous êtes alors engagé à vous occuper particulièrement d'elle !

Est-ce la lecture de son dossier qui a suscité cet intérêt pour elle, voire même un attachement précoce ?

Il est vrai que je suis toujours touché par les familles qui ont vécu des drames, comme celle de Clémence. Il faudrait être insensible pour ne pas ressentir de compassion ! Néanmoins, je ne pense pas avoir eu un attachement prématuré : j'avais surtout repéré cette petite chipie et je voulais à tout prix l'avoir à l'œil ! Clémence fait partie des élèves qui ont la capacité de me retourner le pensionnat : il était hors de question que je la laisse faire !

A la suite de son agression, vous avez décidé de l'installer dans vos appartements avec son amie Mathilde, pour mieux la protéger, lui attribuant ainsi un statut privilégié au sein du pensionnat, surtout avec un peu moins de surveillance. 

Avez-vous l'impression de la traiter comme toutes les pensionnaires ?

Chaque pensionnaire est différente, donc je traite chacune d'elles en fonction de leur personnalité et de leurs agissements. Cependant, elles sont sur un même pied d'égalité dans mon esprit.

Vous est-il arrivé par le passé d'avoir un tel attachement pour une pensionnaire aussi peu sage ? Pour sa famille que vous semblez admirer ?

Je suis attaché à chacune de mes pensionnaires et ce, depuis que je suis à ce poste. Vous qui avez uniquement le point de vue de Clémence, ne voyez sans doute pas le lien particulier qui m'unit aux autres pensionnaires, comme Camille ou Hélène, qui gagnent également à être connues. Oui, je suis très attaché à Clémence mais ce n'est pas une exception.

Effectivement, son frère et sa sœur sont admirables, mais c'est le cas de beaucoup d'autres familles !

Elle est surnommée "la chouchoute de la direction". Pensez-vous que ce soit le cas ?

Non. En tout cas pour ma part, je n'ai pas de chouchoute.

Avez-vous pressenti l'attirance réciproque entre Monsieur Matthieu et Clémence ?

Absolument pas. J'aurais aimé ! Cela m'aurait permis de mieux anticiper les conséquences.

Pour le bien de Clémence, vous prenez la responsabilité de leur organiser une rencontre hors cadre institutionnel.

Pensez-vous que Clémence parviendra au retour à retrouver une relation "normale" avec vous, qu'elle ne tentera pas d'échapper à votre autorité ?

Notre relation ne sortira pas du cadre qu'elle occupe actuellement. De plus, il est tout à fait normal que je m'investisse pour le bien-être de Clémence et de mes autres pensionnaires.

Echapper à mon autorité ? Qu'elle essaie, pour voir !

Si Clémence ne vous avait pas demandé de regagner avec son amie le dortoir n°2, l'aviez-vous envisagé ? Le lui auriez-vous proposé ?

Oui, je le lui aurais proposé car j'estime qu'elle est désormais hors de danger. J'attendais uniquement qu'elle soit prête. Le fait que ce soit elle qui me le demande m'enlève une épine du pied !

Vous vous étiez habitué à leur présence dans vos appartements ; que ressentez-vous à l'idée de leur départ ?

Mon chez-moi va me paraître vide les premiers temps, mais j'avoue aimer l'idée de pouvoir souffler seul le soir, sans avoir à m'occuper de Clémence et Mathilde ! Je vais retrouver un peu de liberté !

Vous pensez que Clémence est hors de danger ? Il y a sûrement des filles qui lui en veulent de ne pas s'être dénoncée tout de suite, leur causant une grande frayeur. Les fessées n'ont pas eu lieu mais elles les ont redoutées ! Ne craignez-vous pas des représailles ? "Ce n'est pas parce que l'ennemi dort qu'il n'est pas là" !

Clémence a assez de caractère pour savoir se défendre, ainsi que pour demander de l'aide si cela tourne au vinaigre. Nous ne pourrons pas empêcher des querelles entre gamines mais nous interviendrons bien sûr si cela va trop loin ; et nous interviendrons sévèrement ! Mes pensionnaires savent que la méchanceté est proscrite dans mon établissement ; elles n'ont donc pas intérêt à faire d'une camarade un bouc émissaire ! Clémence ne sera pas de nouveau harcelée, j'en fais un point d'honneur !

Commentaires

  1. 2 Novembre, jour de votre anniversaire 😉
    Un tête à tête au restaurant avec votre protégée 😊 quelle heureuse coïncidence !

    Dès le premier jour, Clémence a dévoilé son caractère rebelle et a eu le privilège de découvrir votre bureau... vous vous êtes alors engagé à vous occuper particulièrement d'elle !
    Est-ce la lecture de son dossier qui a suscité cet intérêt pour elle, voire même un attachement précoce ?

    A la suite de son agression vous avez décidé de l'installer dans vos appartements avec son amie Mathilde, pour mieux la protéger, lui attribuant ainsi un statut privilégié au sein du pensionnat, surtout avec un peu moins de surveillance.
    Avez-vous l'impression de la traiter comme toutes les pensionnaires ?

    Vous est-il arrivé par le passé d'avoir un tel attachement pour une pensionnaire aussi peu sage ? Pour sa famille que vous semblez admirer ?

    Elle est surnommée ''la chouchoute de la direction''.
    Pensez-vous que ce soit le cas ?

    Avez-vous pressenti l'attirance réciproque entre Mr Mathieu et Clémence ?
    Pour le bien de Clémence vous prenez la responsabilité de leur organiser une rencontre hors cadre institutionnel.
    Pensez-vous que Clémence parviendra au retour à retrouver une relation ''normale'' avec vous, qu'elle ne tentera pas d'échapper à votre autorité ?






    RépondreSupprimer
  2. Sonia, vous êtes une vraie journaliste !
    On attend les réponses...

    RépondreSupprimer
  3. Pardon, je n'avais pas vu les réponses...

    RépondreSupprimer
  4. Si Clémence ne vous avait pas demandé de regagner avec son amie le dortoir 2, l'aviez-vous envisagé ? le lui auriez-vous proposé ?
    Vous vous étiez habitué à leur présence dans vos appartements; que ressentez-vous à l'idée de leur départ ?

    RépondreSupprimer
  5. Vous pensez que Clémence est hors de danger ?
    Il y a sûrement des filles qui lui en veulent de ne pas s'être dénoncée tout de suite, leur causant une grande frayeur.
    Les fessées n'ont pas eu lieu mais elles les ont redoutées ! Ne craignez-vous pas des représailles ?
    ''Ce n'est pas parce que l'ennemi dort qu'il n'est pas là ! "

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Alors ? Qu'en avez-vous pensé ?

Les stars du blog :

Journal d'une étudiante accueillie (Chapitre 1)

Ça y est, nous y sommes. Mon pire cauchemar est arrivé. Monsieur X. a été élu à la Présidence de la République et il va appliquer son programme. Je m’appelle Marie, j’ai 18 ans, et je vais aller au bagne pour la première fois de ma vie. Enfin, au bagne... J'exagère légèrement. Je vais en fait aller en famille d’accueil, famille dans laquelle je vivrai la semaine ; je pourrai rentrer voir ma famille, dont l’homme de ma vie, le week-end. J’ai eu mon bac littéraire en juin dernier, mention très bien. J’ai décidé d’entamer une licence de Lettres afin de réaliser mon rêve : devenir professeure des écoles. Mais Monsieur le Président de la République l’a décrété : « Tous les étudiants de 18 à 25 ans seront accueillis en structure pour le bien de leurs études ». Pour le bien de nos études ? Pff, tu parles ! Encore des propos démagogues ! Alors me voilà inscrite à l’université Jules Verne de *****, dans laquelle je vais passer minimum trois ans, pour me former au métier de professeu...

Le tutorat de Little Princess (séance 3)

Comme vous avez pu le voir, j'ai changé le titre de cette rubrique. D'abord parce que je le trouvais trop long, ensuite parce qu'il devenait mensonger : Thomas n'est plus mon "nouveau" tuteur mais mon tuteur, tout simplement !   Nous ne nous étions pas vus depuis le lundi 7 décembre. Du 7 décembre au 6 janvier : un mois de « mise à l’épreuve » après la rouste de la dernière fois.   A peine deux jours après ce recadrage musclé, j’avais de nouveau testé Thomas, mais cette fois-ci je m’étais bien assurée que ce soit à distance. Jusqu’ici, toutes mes tentatives de rébellion avaient purement et simplement échouées, et j’en avais payé les frais. Restait ma toute dernière carte et j’hésitais vraiment à la jouer. Et puis tant pis, je me lançai.                 Depuis le début du semestre, ça ne passe pas avec ma prof d’histoire : je ne vous referai pas ici le récit de mon altercation v...

Le tutorat de Little Princess - Partie 3 (Préambule (3) - Et m*rde...)

                  Il paraît que c’est cela que l’on appelle « avoir sacrément merdé »…                     Lorsque ma mère était enceinte de ma sœur et moi, ce fut une grossesse difficile : déni de grossesse les quatre premiers mois, puis perte de ma jumelle. A six mois et demi, s’ils voulaient me donner une chance de vivre, il fallait accoucher ma mère.                   L’une des grosses conséquences de cette naissance très prématurée : de nombreuses malformations dues au fait que mes organes n’ont pas eu le temps de se placer correctement. Si la plupart sont bénignes, en revanche ma malformation intestinale pose problème. J’ai ce qu’on appelle un « mésentère commun complet ». Une malformation inte...

Nouvelle rentrée, nouvelle vie ! (Chapitre 17)

 Ce chapitre a été écrit par Marie, une fan du blog. Malgré mes quelques commentaires et réécritures, elle a fait un excellent travail ! Bravo à elle ! Mardi 17 septembre 2019.   Lorsque Monsieur Éric toqua à la porte pour nous réveiller, j’étais très motivée pour me lever (ce qui est très rare !). Aujourd’hui sera une belle journée : d’abord parce que le mardi reste la meilleure journée de la semaine grâce à Madame Kelly, la prof la plus adorable du Pensionnat ; ensuite parce que j’ai réfléchi à un plan pour me venger de Monsieur Jean et de Monsieur Nicolas. Ce sera discret (enfin autant que faire se peut), rapide et efficace. Je sais bien que lorsque nous nous ferons attraper la punition sera salée ; mais je ne supporte pas l’idée de laisser croire à nos professeurs qu’ils ont tout le pouvoir (même si ce n’est peut-être pas tout à fait faux). Pour mener à bien mon plan, il me faudrait l’aide de mes amies. Je vais tout faire pour les convaincre de me...

Journal d'une étudiante accueillie (Chapitre 26)

  Mercredi 9 octobre 2019.                   Pas de grasse matinée ce matin : Héloïse nous réveilla à neuf heures pour que nous puissions travailler un peu sur nos cours. J’étais grognon au possible en me réveillant, comme cela m’arrive rarement. En m’asseyant à table au petit déjeuner, je fus agacée par Anaïs, toujours pleine d’énergie et en forme le matin. Je déteste les gens du matin. Ou les gens. Ou le matin.                   Après m’être préparée et habillée pour la journée, je remontai dans ma chambre et me sentis toujours aussi grognon. Je ne savais pas encore pourquoi mais j’avais l’impression que cette journée allait être désagréable au possible. Personne n’avait intérêt à me voler dans les plumes : je m’étais levée du pied gauche !          ...