L’heure
du déjeuner fut bienvenue : après être restée debout, les mains dans le dos
pendant plus de deux heures, j’étais enfin contente de bouger et d’aller manger !
Durant
le repas, nous chuchotions entre nous comme à notre habitude, jusqu’à ce que l’Anglais
hurle :
- Taisez-vous ! Je
ne veux plus un bruit ! Les repas se prennent en silence ! Non mais !
Qu’est-ce que c’est que cet établissement ? Que je n’en entende pas une
parler !
Nous nous tûmes alors. Moi qui avais peur de m’ennuyer
devant tant de silence, mes craintes s’écroulèrent très rapidement :
Astrid, qui fit grincer son couvert contre son assiette, se prit une soufflante.
Puis, ce fut au tour de Noémie de s’attirer les foudres de l’Anglais. Elle
piaffa en mangeant une tranche de rôti de bœuf.
- Éric ! cria l’Anglais.
Vous ne comptez pas réagir ?!
- Réagir à quoi, Monsieur ?
- Votre élève se permet
de piaffer à table ! C’est de la mauvaise éducation ! Il faut la reprendre !
- Noémie, dit alors notre
Directeur, veille à manger la bouche fermée.
- Oui Monsieur, répondit
notre camarade.
- Est-ce là votre
réaction ?! s’offusqua Monsieur George à Monsieur Éric. Pensez-vous vraiment
qu’elle ne recommencera pas ?! Vous pouvez faire beaucoup mieux,
mon cher !
A contrecœur, notre Directeur descendit de l’estrade
et se dirigea vers Noémie.
- Monsieur, s’il vous
plaît ! gémit notre amie.
- Je suis désolé, lui
chuchota-t-il avant de lui asséner trois claques sur la jupe.
L’Anglais s’essuya alors la bouche, descendit
de l’estrade et fonça également sur Noémie. Il s’adressa fermement à Monsieur Éric
en disant :
- Une fessée de la part
du Directeur du Pensionnat, ça se donne automatiquement sur les fesses nues, mon cher !
De plus, je crois que vous avez besoin d’une démonstration !
Monsieur George attrapa Noémie, la pencha sous
son bras, releva sa jupe, baissa sa culotte et lui asséna une quinzaine de
claques gigantesques qui firent gémir puis pleurer notre camarade.
- Que je ne vous entende
plus piaffer ! lui cria Monsieur George. C’est indigne d’une demoiselle !
Rhabillez-vous et poursuivez votre repas !
Noémie se rassit en larmes. Mathilde, assise à
côté d’elle, lui passa une main sur l’épaule mais elle fut reprise par l’Anglais :
- Vos mains sur vos
couverts, jeune fille ! Que je n’aie pas à me répéter !
Puis, s’adressant à Monsieur Éric, il dit :
- Voilà comment on tient des
pensionnaires, mon cher ! Retournons à table, maintenant !
Monsieur Éric lança un regard compatissant à
Noémie puis suivit son chef jusqu’à l’estrade.
Ce
calvaire se poursuivit durant tout le repas. Monsieur George reprenait
quiconque mettait les coudes sur la table ou se permettait de chuchoter.
Après avoir obligé Monsieur Éric à donner vingt
claques aux fesses nues d’Emma, l’Anglais termina son repas et dit :
- Il y a fort à faire dans
votre établissement, mon cher ! Vous devez apprendre à sévir, et
grandement ! Croyez-moi : si à la fin de la journée la moitié de vos
pensionnaires n’a pas les fesses rouge pivoine, c’est que cette dite journée a
été improductive !
Notre Directeur hocha lentement la tête et
suivit son boss dans une autre pièce.
Nous sortîmes à notre tour du réfectoire, dépitées
à l’idée que ce fou furieux reste toute une semaine dans notre école.
Nous
entrâmes en cours de philosophie à 13h30 avec Monsieur Yves. Lorsque le
professeur nous autorisa à nous asseoir, nous entendîmes frapper à la porte :
le monstre Anglais demandait à assister au cours ! Monsieur Yves accepta
poliment : il ne pouvait pas dire non au chef de son chef !
Je
sortis mon cahier de philosophie de mon sac et mis en évidence la page sur
laquelle j’avais effectué l’exercice pour aujourd’hui.
- Il y avait des devoirs ?!
me demanda Naomy, paniquée.
- Silence ! cria
Monsieur Yves tandis qu’il vérifiait les cahiers.
J’hochai la tête en direction de Naomy. Cela m’étonnait
que Monsieur Alexandre, son père-référent, n’ait pas vérifié son travail hier !
Lorsque le philosophe arriva à hauteur de Naomy,
il s’exclama :
- Vous n’avez pas fait vos
devoirs ?!
- Non Monsieur, répondit mon
amie d’une voix tremblotante.
- Alors, qu’allez-vous
faire ? demanda l’Anglais au prof.
- Naomy, pour demain,
vous me copierez dix fois l’exercice qui était à faire pour aujourd’hui !
annonça Monsieur Yves.
- Et ? ajouta Monsieur
George.
- Allez vous penchez sur
mon bureau, ordonna Monsieur Yves après avoir fermé les yeux.
- Monsieur, s’il vous
plaît ! pria Naomy. C’est la première fois que ça m’arrive !
- Raison de plus !
intervint Monsieur George. Il faut couper le mal à la racine.
- Allez, Naomy. Penchez-vous
sur mon bureau.
Monsieur Yves demanda à Naomy de lui faire
confiance à travers le regard. Naomy obtempéra donc. Monsieur Yves sortit alors
une fine raquette de ping-pong de son tiroir et fila un coup sur la jupe de Naomy.
- Non, non, non !
intervint Monsieur George. Cette raquette de ping-pong ne vaut rien ! De
plus, il vous faut d’abord la déculotter.
- C’est la première fois
qu’elle oublie d’effectuer son travail, Monsieur, justifia le philosophe.
- Et votre rôle est d’empêcher
une récidive ! répondit Monsieur George en déculottant lui-même Naomy.
Trouvez un instrument plus dissuasif !
Monsieur Yves sortit alors de son tiroir un
petit paddle en cuir qui semblait tout aussi inoffensif que la raquette.
- Vous vous fichez de moi ?!
gronda l’Anglais à Monsieur Yves.
Le Directeur international se leva et prit la
grosse règle du tableau.
- Ceci fera l’affaire !
acta Monsieur George tandis que Naomy gémissait d’appréhension.
Monsieur Yves prit la règle et annonça à Naomy :
- Je vais vous donner cinq
coups de règle…
- Ne dîtes jamais combien
elles vont en recevoir ! gronda Monsieur George. Savoir que cela va s’arrêter
les aide à supporter la punition ! De plus, cinq coups de règle ?!
Allons mon cher, c’est une plaisanterie ?!
Notre professeur de philosophie frappa les
fesses nues de Naomy vingt-cinq fois. Naomy pleurait tellement qu’elle en avait
des spasmes !
- Bien, conclut Monsieur
George après avoir jeté un œil aux fesses de Naomy. Maintenant, envoyez-la chez
le Surveillant Général.
- Pardon, Monsieur ?!
s’étonna Monsieur Yves en écarquillant les yeux.
- Ne pas effectuer ses
devoirs est une infraction de grade 4. Elle vient de recevoir votre rappel à l’ordre,
expliqua Monsieur George. Elle doit maintenant recevoir une correction de la part
du Surveillant Général. Monsieur John saura s’occuper de son derrière de façon
on ne peut plus convenable !
Alors, Naomy fut envoyée chez mon père-référent.
Ce monstrueux Monsieur George avait néanmoins
réussi l’exploit de m’enlever tout esprit de rébellion.
Je
profitai de la récréation pour interpeller Monsieur Éric alors qu’il sortait
des toilettes :
- Monsieur ! Il faut
que vous fassiez quelque chose ! Cet Anglais va me tuer sur place !
- Je t’ai déjà aidé à ma
façon, Clémence. Ça va être très douloureux mais essaie de me faire confiance.
J’ai essayé de vous aider toutes les cinq en atténuant vos sanctions.
- Comment ?
- J’ai falsifié vos
dossiers. Je suis censé noter votre « instrument point faible », c’est-à-dire
celui que vous supportez le moins : je l’ai remplacé par celui que vous supportez
le mieux. Normalement, tu ne recevras que la main.
- Mais vous ne pouvez
rien me garantir ?!
- Non.
- Il faut que vous m’inventiez
une maladie ! Ou que vous plaidiez en ma faveur ! Ou…
- Ah oui ? Et pour
les autres aussi, je devrais faire cela ?
- Je m’en fiche des
autres ! Je vous parle de moi, là !
- Eh bien moi, je ne m’en
fiche pas, trancha-t-il. Il n’y a aucune raison qu’elles prennent plus cher que
toi.
- Mais Monsieur, je…
- Ça suffit, Clémence !
gronda-t-il. Tu t’es mise dans ce pétrin toute seule à force de nous mener la
vie dure ici chaque jour que Dieu a fait ! Ce que tu vas récolter ce soir
n’est que le résultat de ton entêtement et de ton comportement déplorable !
Peut-être bien que cette correction de la part de Monsieur George te fera passer
l’envie d’être récalcitrante !
- Je vous déteste,
fulminai-je avant de retourner dans la cour.
Je
m’étais tenue à carreaux jusqu’à dix-sept heures trente, heure où je frappai à
la porte du bureau de Monsieur Éric.
- Entrez, jeune fille !
entendis-je l’Anglais dire.
J’ouvris la porte et vis un spectacle à faire
pâlir les morts. L’Anglais était assis dans le siège du Directeur. A sa droite,
se tenaient Monsieur Éric et Monsieur Lionel, debouts. A sa gauche, se tenait
mon père-référent, debout également. Puis le long du mur gauche, se trouvaient
les cinq Surveillantes Référentes. Enfin, Abigaëlle était face au mur droit, tenant
une feuille de papier entre son nez et le mur, les mains attachées (!!!) dans son
dos, et le derrière écarlate, bleui en certains endroits, exposé à toute l’assemblée.
Cela faisait vraiment flipper !
- Fermez la porte
derrière vous, me dit l’Anglais.
Je m’exécutai, bien que je pensasse qu’à tout
moment mes jambes allaient me lâcher.
- Approchez, ordonna
Monsieur George.
J’obéis, tandis que l’Anglais parcourait mon dossier.
J’entrepris alors d’articuler silencieusement un « Je suis désolée »
à Monsieur Éric, qui hocha la tête en signe de compréhension.
- Vous êtes un sacré
phénomène, Mademoiselle Clémence ! me lança l’Anglais. Vous êtes tellement
incontrôlable que vous avez été punie par les trois membres de la Direction, en
même temps ! Eh bien, quel palmarès ! On aurait pu croire que cela vous
aurait assagie, mais ce n’était que vous sous-estimer, n’est-ce pas ? Votre
dernière frasque a été d’être insolente avec votre professeur d’espagnol hier !
Vous ne vouliez pas travailler ! Mais dîtes-moi jeune fille : pourquoi
êtes-vous ici ?
J’allais articuler une réponse lorsque la
feuille que tenait Abigaëlle avec son nez contre le mur tomba. Monsieur George
se leva alors, et malgré les prières de ma camarade, il lui flanqua une
vingtaine de claques venues de l’espace. Chaque claque fit crier Abigaëlle et me
terrifia.
Monsieur George repositionna alors la feuille,
se rassit dans le fauteuil du Directeur et poursuivit avec moi :
- Alors ? Pourquoi
êtes-vous ici ?
- Pour travailler,
Monsieur, répondis-je d’une voix tremblotante.
- Nous sommes d’accords.
Vous n’êtes donc pas dans cet établissement pour déclencher une mutinerie,
écrire au marqueur sur les Surveillantes, arroser de farine le Surveillant
Général ou quoique ce soit d’autre, n’est-ce pas ?
- Non Monsieur, dis-je à
mi-voix.
- Vous semblez pourtant être
d’une famille très noble et respectable, enchaîna Monsieur George. Votre frère
et votre sœur sont réputés dans leurs domaines. Ils n’ont pas dû faire preuve
de laxisme dans votre éducation. Me trompe-je ?
- Non Monsieur.
- Pourtant, vous vous
croyez en colonie de vacances, ici !
J’avalai ma salive. Tout mon corps n’était qu’appréhension.
- Monsieur John est votre
père-référent, je comprends pourquoi ! Vous êtes une très jolie fille,
vous devez en amadouer plus d’un avec votre minois ! Heureusement que Monsieur John est incorruptible !
Je baissai la tête. L’Anglais se leva et s’approcha
de moi. Je dus lutter pour pas avoir un mouvement de recul.
- Mains sur la tête !
ordonna-t-il avant que j’obéisse.
Il dégrafa ma jupe et fit glisser ma culotte
jusqu’à terre, exposant mon pubis à toutes les personnes présentes. Je pensai
immédiatement que Matthieu allait détester ça lorsque je lui raconterais !
- Vous êtes toute menue,
pourtant votre derrière lui, est bien rond ! commenta Monsieur George.
Toutes les pestes dans votre genre ont des fesses destinées à recevoir leur dû !
A croire que l’Univers sait ce qu’il fait !
Je dus me retenir de vomir.
Monsieur George alla chercher une chaise et la
plaça au centre de la pièce. Puis, il releva sa manche droite et dit :
- Vous avez déjà dû
recevoir une fessée en travers des genoux, Mademoiselle Clémence ! Que ce
soit ici ou à la maison. Me trompe-je ?
- Non Monsieur.
- Bien. Alors celle-ci va
vous rappeler des souvenirs !
L’Anglais s’assit sur la chaise et me bascula
rapidement en travers de ses cuisses. Puis, me maintenant fermement la taille, je
le sentis brandir sa main. Je serrai les fesses.
La
première claque fit très, très mal. Les suivantes furent encore pires. C’était
pire que de recevoir une fessée de la part de Monsieur John, pire que d’en
recevoir une de la part de Côme. C’était tout bonnement insoutenable. Et cela
dura longtemps.
J’hurlai,
criai, pleurai. Peu m’importait maintenant les huit personnes qui assistaient à
mon calvaire : je ne pouvais pas me contenir. Il m’était impossible de me
taire, tant mon derrière me faisait mal !
Lorsqu’il
s’arrêta enfin, il annonça :
- Vingt-cinq minutes, c’est
plutôt satisfaisant pour débuter une première correction. Levez-vous,
Mademoiselle Clémence !
Je tombai à genoux à terre, le souffle court.
Je pleurais tellement que je n’arrivais pas à reprendre ma respiration.
- Arrêtez votre cinéma et
levez-vous avant que je vous remette sur mes genoux ! me gronda Monsieur
George.
Je me forçai alors à me remettre debout.
- Allez vous pencher sur mon
bureau, ordonna-t-il.
- Monsieur, pitié !
le priai-je.
- Vous tentez de négocier ?!
s’offusqua-t-il en m’assénant une claque qui me déséquilibra. Penchée sur le
bureau ! Exécution !
L’Anglais sortit de sa sacoche un paddle court
et troué, en plexiglas.
- Vous compterez chaque coup,
me dit-il. Et après chaque coup, vous vous excuserez pour votre comportement
depuis la rentrée. Est-ce clair ?!
- Oui Monsieur,
répondis-je.
Il asséna un premier coup, monstrueusement
douloureux, pile sur la jointure fesse-cuisse. Je poussai un cri de douleur et
me frottai immédiatement l’endroit meurtri par le coup avec ma main.
- La prochaine fois que
je vous voie mettre votre main, je vous les attache, jeune fille ! Et
puisque je n’ai entendu ni votre compte, ni vos excuses, nous recommençons
depuis le début !
Il asséna le deuxième coup, avec la même intensité
et au même endroit. J’eus la même réaction. Alors, il m’attacha les poignets. Mais
je pliai les jambes à chaque fois que le paddle tombait pour atténuer la
douleur.
- Vous êtes une récalcitrante
sans aucun doute ! Dit-il avant de me fixer sur un banc à fessées. Mais
nous avons des solutions, ne vous en faîtes pas !
Cinquante coups de
paddle en plexiglas tombèrent en alternance sur ma jointure gauche et ma jointure
droite. Ce fut l’un des pires moments de toute ma vie.
- Voilà ce qu’est une correction,
Mademoiselle Clémence ! me gronda l’Anglais après m’avoir détachée. Voilà
ce que vous devriez recevoir à chaque fois que vous transgressez le règlement !
Vous et vos quatre amies avez intérêt à rentrer dans le rang, car je vais vous
avoir à l’œil toute la semaine, vous entendez ?! Toute la semaine !
Alors que je pleurais plus que jamais dans ma
courte vie, l’Anglais estima qu’il fallait enfoncer le clou et me reprit sur ses
genoux pour une horrible nouvelle fessée manuelle qui dura une bonne dizaine de
minutes.
Lorsque je me relevai, je voyais bien, même à
travers mes yeux bouffis que certains des huit spectateurs étaient enclins de compassion
pour moi.
Alors que je pensais finir au coin comme
Abigaëlle, le monstre Anglais me demanda :
- Où est votre chambre,
Mademoiselle ?!
- Dans… le dor…dortoi…toir
nu…numé…numéro d…deux, Mons…ieur…eur…eur, répondis-je en pleurant.
- Bien ! Alors, je
vous envoie au lit. Vous ne dînerez pas ce soir. Monsieur John, accompagnez
votre fille-référente dans sa chambre et n’en partez pas avant qu’elle soit en
pyjama et couchée !
J’entrepris de ramasser mes vêtements lorsque l’Anglais
m’arrêta :
- Je garde ceci.
Monsieur John m’empoigna fermement le bras et
me conduisit ainsi jusqu’à ma chambre. Puis, une fois dans celle-ci, il ferma
la porte et me prit immédiatement dans ses bras. Je me laissai aller à pleurer durant
de très longues minutes. Monsieur John attendit patiemment que je me calme un peu.
Puis, lorsque j’eus fini, il me dit :
- Attends-moi là. J’arrive.
- Où allez-vous ? m’inquiétai-je.
Si l’autre fou l’apprend, il…
- Ne t’inquiète pas. Il
est occupé avec Salomé. Va prendre ta douche pendant que je m’absente. J’arrive.
Je me prélassai alors sous la douche et réussis
à me calmer complètement. J’avais une migraine atroce, tant j’avais pleuré !
J’enfilai mon pyjama et sortis de la salle de
bains : Monsieur John m’attendait, assis sur mon lit, avec un sandwich,
une mousse au chocolat et le remède de l’infirmière.
Il attendit avec moi que je mange, puis il me
demanda de m’allonger sur le ventre pour me prodiguer les soins nécessaires.
- Monsieur George aurait
refusé que l’infirmière vienne te voir, dit Monsieur John en appliquant le
remède.
- Ce sadique est
complètement taré ! pestai-je.
- Tiens-toi à carreaux
pendant une semaine, c’est tout ce que je te demande. De mon côté, j’essaierai
de plaider en ta faveur.
- Il vous adore !
râlai-je.
- Uniquement parce que j’ai
très bonne réputation.
- Je ne veux pas qu’il
vire Monsieur Éric.
- Ça n’arrivera pas.
- Comment pouvez-vous en être
sûr ?
Mon père-référent ne répondit pas et changea de sujet :
- Ce qui est sûr, c’est
que même après son départ, la vie ici va devenir plus dure. Il a effectué une
visite dans mon ancien établissement et il a remplacé les trois quarts du
personnel par des sbires aussi sadiques que lui.
- S’il fait ça, je me
tire de ce bahut, prévins-je.
- Pas avant d’avoir eu
ton bac ! me gronda Monsieur John.
Il termina mes soins et me laissa me reposer. Malgré
mon réveil qui affichait dix-huit heures trente, je m’endormis immédiatement.
A suivre…
Oh merci Little Princess !
RépondreSupprimerJe suis un peu rassurée concernant Mr Éric et Mr John ...
Mais l'avenir dans le pensionnat esr vraiment inquiétant 😪
Ce Mr Georges est un fou furieux !!!
Il faut trouver un moyen de le neutraliser 😡
J’espère qu’ils trouveront un moyen de contrer Mr Georges.
RépondreSupprimerQu’en est-il de la journée des familles ? Est-ce que ce fou furieux va l’autoriser ?
Mais quel gros connard cet Anglais
RépondreSupprimerJe le déteste en plus il veux viré le dirlo... je ne suis pas d'accord
Heureusement Monsieur John prend soins de Clémence ainsi que Monsieur Eric
J'espère qu'elles vont trouver un moyen de calmer ce fichu George
Il le fait un peu penser à un pédo avec les réflexions qu'il a fait à Clémence
J'espère que élève et enseignants vont tous ce révolter contre lui!!!
Et le faire virer!!!!!!!
J'espère que tout va bien pour toi LP
Biz